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17 octobre 2024Bien­ve­nue à la pre­mière édi­tion de notre news­let­ter bi-mensuelle « A sa juste place! ». Aujourd’­hui, j’a­borde avec toi une ques­tion pro­fonde et sou­vent dérou­tante. Faut-il se perdre pour se retrou­ver? Dans ta quête d’é­qui­libre entre vie pro­fes­sion­nelle et per­son­nelle, il n’est pas rare que tu te sentes perdu.e. La pres­sion de répondre aux attentes de ton entou­rage, que ce soit ton chef, tes col­lègues, tes proches ou toi-même, peut t’é­loi­gner de ta véri­table essence. Mais se perdre n’est pas for­cé­ment néga­tif. Bien au contraire, cela peut être une étape essen­tielle pour te décou­vrir et te réin­ven­ter. Pour moi, « se perdre » signi­fie: accep­ter l’in­cer­ti­tude, lâcher prise sur des che­mins tra­cés par d’autres, et explo­rer de nou­velles direc­tions. C’est dans ces moments de flou que nous pou­vons vrai­ment écou­ter notre voix inté­rieure et com­prendre ce qui compte vrai­ment pour nous. Et si fina­le­ment se sen­tir perdu.e était sim­ple­ment une oppor­tu­ni­té de crois­sance, une invi­ta­tion à redé­fi­nir nos prio­ri­tés et à ali­gner nos actions avec nos valeurs?   Elle te par­tage son expé­rience La renais­sance de Julie Julie B., l’une de nos clientes, a accep­té de par­ta­ger son par­cours. Après des années à gra­vir les éche­lons d’une grande entre­prise, elle s’est sou­dai­ne­ment sen­tie per­due et déso­rien­tée. Un chan­ge­ment de direc­tion, une nou­velle vision, des rela­tions avec une hié­rar­chie qui se dégradent et une charge de tra­vail qui com­mence à l’é­touf­fer. Contre l’a­vis de tous, elle quitte son poste de Res­pon­sable mar­ke­ting. La situa­tion pro­fes­sion­nelle semble enviable sur le papier, mais elle le sait au fond d’elle, elle n’est plus à sa place. Plu­tôt que de voir cela comme un échec, Julie a déci­dé de prendre du recul. Elle décide de réa­li­ser une chose dont elle a tou­jours rêver: Pas­ser plu­sieurs mois à voya­ger. Ce voyage s’a­vère salu­taire puis­qu’elle prend le temps de réflé­chir, de se recen­trer sur elle. Elle arrive à voir les choses autre­ment. Elle est reve­nue avec de nou­velles inten­tions, une envie de contacts humains, une envie d’ai­der les autres. Après ce temps de pause, où elle a pu se recon­nec­ter avec elle-même, je l’ai accom­pa­gnée sur un futur pro­jet pro. Nous avons mis en lumière qu’elle ado­rait ce qu’elle fai­sait. Elle n’ai­mait en revanche ni le « com­ment », ni le « avec qui » et ni le « pour qui » elle le fai­sait. L’en­vi­ron­ne­ment dans lequel elle évo­luait était par­ti­cu­liè­re­ment toxique et l’empêchait de s’é­pa­nouir. Elle pen­sait ne plus aimer son métier. Aujourd’­hui elle a choi­si un modèle de tra­vail qui lui convient mieux en lan­çant sa propre entre­prise. Mon conseil: Par­tir oui, mais pour faire quoi? Quand on a fait son par­cours pro­fes­sion­nel dans un seul et même domaine, il n’est pas évident de trou­ver une nou­velle voie. Toute notre iden­ti­té pro­fes­sion­nelle s’est for­gée sur cette voie ini­tiale. Notre entou­rage nous le rap­pelle chaque jour, la socié­té nous défi­nit par notre tra­vail. Il n’est pas évident de se défaire de cette éti­quette. Et pour­tant, je le répète, nous ne sommes pas notre métier, nous sommes des êtres humains en per­pé­tuelle évo­lu­tion. Alors pour maxi­mi­ser tes chances de réus­site et ouvrir le champ des pos­sibles, il est néces­saire d’a­voir de la place: de la place au niveau émo­tion­nel de la place au niveau de sa charge men­tale de la place phy­sique (emploi du temps, obli­ga­tions,…) Il est évident que tout le monde ne peut pas, comme Julie, se défaire de toutes obli­ga­tions et par­tir plu­sieurs mois à l’é­tran­ger. Cela peut te sem­bler contre pro­duc­tif, dans un pre­mier temps, il est pré­fé­rable de prendre du temps pour toi. Se concen­trer sur des choses qui te font plai­sir et te mettent dans une éner­gie posi­tive. Inutile de pen­ser pro. L’i­dée est de t’en­le­ver toute la pres­sion que l’on peut te mettre autour du tra­vail et de faire ton « deuil » de cette situa­tion pro­fes­sion­nelle. Ce n’est qu’une fois que tu es reconnecté.e à toi, que tu peux son­ger ou envi­sa­ger une nou­velle étape dans ton par­cours pro d’une manière plus consciente. C’est pour cela que mon approche est cen­trée sur la réap­pro­pria­tion. Car un chan­ge­ment de voie ne veut pas dire virage à 180°. Par­fois c’est sim­ple­ment un chan­ge­ment d’en­vi­ron­ne­ment, de sec­teur d’ac­ti­vi­té, de for­mat, par­fois c’est un chan­ge­ment de métier. Une recon­ver­sion peut, comme dans le cas de Julie, son­ner comme une évi­dence. Dans d’autres cas, un petit coup de pouce à tra­vers un accom­pa­gne­ment court ou long peut être béné­fique. Pas­sons à un exer­cice pra­tique Pour ce pre­mier exer­cice, nous allons créer ta carte de réflexion per­son­nelle. Prends une feuille et un sty­lo, ou uti­lise une appli­ca­tion de prise de notes. Réserve un moment calme pour toi, loin des dis­trac­tions. Ins­cris ton nom au centre de la feuille. Trace autour de ton nom des branches vers les dif­fé­rents domaines de ta vie (pro­fes­sion­nel, fami­lial, ami­cal, per­son­nel, etc…) Pour chaque domaine, note com­ment tu te sens actuel­le­ment. Sois hon­nête avec toi-même. Iden­ti­fie ce qui te fait te sen­tir perdu.e dans chaque domaine. Est-ce la pres­sion de réus­sir? Le manque de recon­nais­sance? Ecris ce que ta voix inté­rieure te dit à pro­pos de chaque domaine. Que désires-tu vrai­ment? Quelles sont tes aspi­ra­tions pro­fondes? Iden­ti­fie le domaine de ta vie qui te prend le plus de place men­ta­le­ment, émo­tion­nel­le­ment et phy­si­que­ment. Ces res­sources peuvent t’être utiles Le pod­cast: Bien pré­pa­rer sa recon­ver­sion pro https://open.spotify.com/episode/0l0bCfjGsAmysHpeUs6wMN?si=qL-R9ianS9Okq0aZMppGUw&nd=1&dlsi=03419888e7244178 La vidéo Ted‑X: Succès, échec et le che­min pour conti­nuer à créer https://www.youtube.com/watch?v=_waBFUg_oT8 Le livre: Les ver­tus de l’échec » de Charles Pépin J’es­père que ce pre­mier numé­ro t’au­ra aidé à réa­li­ser l’im­por­tance de te recen­trer sur toi-même. Mal­gré le rythme effré­né, vois cette news­let­ter comme une pause salu­taire. Un moment pour débu­ter une intros­pec­tion vers une ver­sion plus ali­gnée de toi. C’est le début d’un beau che­min, et dans deux semaines, nous conti­nue­rons ensemble ce voyage. […] Lire la suite…
14 octobre 2024La recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle est un che­min riche en appren­tis­sages, mais par­fois com­plexe dans le bon accom­pa­gne­ment. Chez Quête 2 Sens Pro, nous met­tons un point d’honneur à t’ac­com­pa­gner tout au long de ce pro­ces­sus, avec une approche flexible, l’adap­ta­bi­li­té, bien­veillante, et posi­tive. Voi­ci nos conseils pour réus­sir ta tran­si­tion et révé­ler ton poten­tiel pro­fes­sion­nel. Eva­lue ton par­cours et tes com­pé­tences La pre­mière étape est de réa­li­ser faire un bilan de tes com­pé­tences pro­fes­sion­nelles, per­son­nelles, et tes apti­tudes. Ce bilan te per­met­tra d’analyser tes forces, tes fai­blesses, ain­si que tes aspi­ra­tions pro­fes­sion­nelles. Un bilan de com­pé­tences peut être finan­cé par le CPF (Compte Per­son­nel de For­ma­tion) pour t’ai­der à faire un point pré­cis pour orien­ter tes choix. 2. Défi­nir un pro­jet pro­fes­sion­nel clair et réa­liste Pour réus­sir ta recon­ver­sion, il est pri­mor­dial de défi­nir un pro­jet pro­fes­sion­nel ali­gné avec tes aspi­ra­tions. Cette phase d’investigation est cru­ciale pour déter­mi­ner les pos­si­bi­li­tés d’évolution et d’acquisition de nou­velles com­pé­tences pro­fes­sion­nelles. En tant que béné­fi­ciaire, tu devras cla­ri­fier tes moti­va­tions et tes objec­tifs per­son­nels afin de trou­ver le métier qui vous cor­res­pond vrai­ment. 3. Se faire accom­pa­gner par un consul­tant expert Chez Quête 2 Sens Pro, nos consul­tants sont spé­cia­li­sés dans la recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle et te pro­posent un accom­pa­gne­ment per­son­na­li­sé pour maxi­mi­ser tes chances de suc­cès. Ils t’ai­de­ront à éta­blir un plan d’action concret, à iden­ti­fier les com­pé­tences à ren­for­cer et à for­ma­li­ser un pro­jet réa­liste. Ce tra­vail peut inclure des entre­tiens indi­vi­duels, des bilans appro­fon­dis, et une aide dans l’inves­ti­ga­tion du mar­ché de l’emploi. 4. Uti­li­ser le CPF et autres dis­po­si­tifs de finan­ce­ment Le CPF peut finan­cer ta for­ma­tion, sous cer­taines condi­tions. Il per­met de suivre une for­ma­tion en lien avec ton pro­jet de recon­ver­sion tout en conti­nuant de per­ce­voir un salaire dans cer­taines condi­tions (notam­ment grâce au congé indi­vi­duel de for­ma­tion). D’autres dis­po­si­tifs comme le plan de déve­lop­pe­ment des com­pé­tences ou la vali­da­tion des acquis de l’expérience (VAE) peuvent aus­si t’ai­der à finan­cer et orga­ni­ser ta for­ma­tion. 5. Pla­ni­fier et struc­tu­rer sa recon­ver­sion Il est impor­tant de pla­ni­fier ta recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle en pre­nant en compte ton temps de tra­vail, tes congés, et tes pos­si­bi­li­tés d’évolution dans ton entre­prise actuelle ou dans une nou­velle struc­ture. Quête 2 Sens Pro t’ac­com­pagne dans la ges­tion de ton évo­lu­tion pro­fes­sion­nelle tout en veillant à ce que tu ne perdes pas de vue tes objec­tifs per­son­nels et pro­fes­sion­nels. Conclu­sion: trans­forme ton poten­tiel en pro­jet concret Ton par­cours pro­fes­sion­nel est unique, et chaque étape de ta recon­ver­sion doit être réa­li­sée avec soin et déter­mi­na­tion. Grâce à notre approche flexible et adap­table, Quête 2 Sens Pro te per­met de navi­guer serei­ne­ment à tra­vers les dif­fé­rentes phases de ta recon­ver­sion, avec des bilans de com­pé­tences appro­fon­dis, une accom­pa­gne­ment bien­veillant, et un plan d’action per­son­na­li­sé. En libé­rant ton poten­tiel, tu peux écrire une nou­velle page de votre vie pro­fes­sion­nelle, riche de com­pé­tences et d’aspirations réa­listes. Si tu sou­haites en savoir plus sur nos ser­vices d’accompagnement ou sur com­ment réa­li­ser un bilan de com­pé­tences, n’hésite pas à nous contac­ter. Chez Quête 2 Sens Pro, nous croyons en ta capa­ci­té à trans­for­mer tes rêves en pro­jets concrets et à atteindre tes objec­tifs. […] Lire la suite…
2 jan­vier 2023Nous avons tous et toutes des idées dif­fé­rentes quant à l’approche édu­ca­tive et l’équilibre à trou­ver entre une car­rière pro et édu­ca­tion des enfants. Pour autant entre car­rière et obli­ga­tion paren­tale faut-il choi­sir? J’ai long­temps pen­sé que les deux n’étaient pas com­pa­tibles, car il y a beau­coup de para­mètres à prendre en compte: La com­po­si­tion du foyer Le sou­tien Les res­sources La peur La volon­té Les postes visés L’environnement de tra­vail Le pres­sion hié­rar­chique / du sec­teur d’activité … Cer­taines situa­tions de vie dimi­nuent les pos­si­bi­li­tés. Le sché­ma qui se repro­duit le plus sou­vent est le “sacri­fice” d’un des 2 membres (bien sou­vent la femme) de la famille au pro­fit de l’autre, qui aura une charge plus impor­tante sur l’éducation et “la logis­tique” du foyer.   Être car­rié­riste, c’est être égoïste Faire car­rière est syno­nyme d’investissement impor­tant en éner­gie, en constance et en pré­sen­téisme. Ain­si on asso­cie régu­liè­re­ment le temps pas­sé au tra­vail à du temps non pas­sé en famille, à du temps volé. Vou­loir faire car­rière quand on est mère de famille est bien sou­vent mal vu en 202… La pres­sion sociale à forte domi­nance patriar­cale, voit la mère car­rié­riste comme une égoïste.   Les enfants, excuse ou source de moti­va­tion? Il faut bien enten­du consi­dé­rer et éva­luer les risques de s’engager dans d’important pro­jet pro­fes­sion­nel. Mais à mon sens, les enfants sont bien plus uti­li­sés comme excuse pour cacher une peur sous-jacente ou une his­toire que l’on se raconte.   Les actes valent 1000 mots Depuis que je suis à mon compte, je passe beau­coup moins de temps avec mes enfants mais les moments que l’on passe sont davan­tage de qua­li­té. Cer­taines phrases comme: « Je peux pas j’ai des enfants » « Je vais le faire pour mes enfants » « Ils seront fières de moi » etc… peuvent être source de moti­va­tion pour cer­tains ou source de pres­sion pour d’autres. En trans­for­mant notre manière de pen­sée, en se reti­rant ce poids de la réus­site et en appre­nant à se faire pas­ser en prio­ri­té, On obtient des résul­tats tota­le­ment dif­fé­rents.   Nos croyances sont notre pre­mier point de blo­cage. Nous sommes des modèles pour nos enfants, ils auront ten­dance à repro­duire nos actions ou à faire tota­le­ment l’inverse. Gar­dons à l’esprit que dans notre édu­ca­tion, nos actes doivent être cohé­rents avec nos paroles et tous les appren­tis­sages que nous sou­hai­tons leur incul­quer. Le rap­port au tra­vail en fait éga­le­ment par­tie. Der­nier point et non des moindres, les éner­gies néga­tives que nous rame­nons du tra­vail impactent notre foyer et ce peu importe la voie choi­sie. Le tra­vail impacte for­te­ment notre vie pri­vée. Et compte tenu du contexte sani­taire, pour beau­coup le tra­vail EST à la mai­son.   Si je devais par­ta­ger quelques conseils, ce serait ceux-ci: 1️⃣ Décul­pa­bi­li­ser. Vou­loir être epanoui.e pro­fes­sion­nel­le­ment ne fait pas de toi une mau­vaise mère qui aban­donne ses enfants. 2️⃣ Assu­mer. S’affranchir du regard d’autrui. Il y a autant de manière de pro­cé­der qu’il y a de per­sonne. Ain­si quoique vous fas­siez, ce sera tou­jours cri­ti­quable et per­fec­tible. 3️⃣ Avoir des moments de qua­li­té. 1h de pleine pré­sence vaut mieux que 7h de pré­sence phy­sique mais cha­cun sur des écrans. 4️⃣ Faîtes de la place dans toutes vos sphères de vie pour trou­ver le bon équi­libre. […] Lire la suite…
2 jan­vier 2023Par où com­men­cer Que ce soit pour chan­ger de métier, chan­ger de for­ma­tion ou quit­ter le sala­riat pour l’en­tre­pre­na­riat, ton pro­jet demande de la pré­pa­ra­tion. Vou­loir chan­ger c’est bien et savoir dans quelle direc­tion se diri­ger c’est mieux ! Je te livre un exer­cice en 8 ques­tions pour t’ai­der à gagner en visi­bi­li­té dans la pré­pa­ra­tion de ton futur pro­jet pro­fes­sion­nel. Muni-toi d’un sty­lo et de quoi écrire. 1- Com­ment définirais-tu le tra­vail ? La plu­part du temps lorsque je pose la ques­tion à mes coa­chés on me répond parce qu’il faut bien payer ses fac­tures. Si on écarte l’i­dée que tra­vailler répon­dra à tes besoins phy­sio­lo­giques, a quoi d’autre répond-t-il de plus pro­fond ? Com­plète cette phrase sur ta feuille  » tra­vailler me per­met de… ; m’ap­porte…; contri­bue à…; déter­mine ma façon de …; créer…; » 2- Qu’est-ce qui te fait lever le matin ? Se lever tous les jours en ayant pour seul moteur sa paie à la fin du mois ou en atten­dant sage­ment le pro­chain jour de repos est un signe que ton acti­vi­té perd de sa valeur, elle manque de sens. Demande-toi de quelle manière tu peux y remé­dier ? Rappelle-toi ce qui t’a pous­sé à choi­sir cette voie, cet emploi, cette for­ma­tion au départ. Sur une échelle de 1 à 10 com­ment te sens-tu? De quelle manière tu pour­rais gagner 1 point sup­plé­men­taire ? 3- Qu’est-ce qui me met en joie ? Que ce soit dans ta sphère pro­fes­sion­nelle ou per­son­nelle, il y a des choses que tu réa­lises qui te donnent le :). Prends un moment et liste 30 ins­tants ou tu te sens bien dans ta semaine. A la lec­ture de ta liste, t’arrive-t-il d’en vivre au moins 10 chaque jour ? 4- Que réalises-tu avec faci­li­té au tra­vail ? Cer­tains appellent cela le talent. Nous pos­sé­dons tous des apti­tudes que nous déve­lop­pons avec faci­li­té. Quelles sont les choses que l’on te recon­naît, sur les­quelles on te com­pli­mente au tra­vail ? Les réalises-tu avec un mini­mum d’effort ? 5- Quel serait ton emploi idéal si tu n’a­vais pas à te sou­cier de l’argent ? Séquence abra­ca­da­brante : je t’offre une baguette magique, tu peux réa­li­ser l’emploi/le busi­ness de ton choix, quel serait-il ? 6- Quelles sont tes aspi­ra­tions pro­fondes ? Vis-tu ton rêve sans le savoir ? Dans ton entou­rage y’a‑t–il des proches qui sont dans le milieu que tu convoites secrè­te­ment ? As-tu des acti­vi­tés pro­fes­sion­nelles ou per­son­nelles en lien avec ton emploi actuel ? Les émis­sions TV que tu regardes, les lec­tures que tu fais ou les influen­ceurs que tu « fol­low » ont-ils un lien avec ce sujet ? 7- Quel style d’ap­pren­tis­sage préfères-tu ? Préfères-tu un appren­tis­sage axé sur la pra­tique ou un envi­ron­ne­ment aca­dé­mique. De quel type de for­ma­tion as-tu besoin ? Dans quel but ? Privilégies-tu une for­ma­tion courte ou longue ? Préfères-tu un pro­gramme de for­ma­tion com­plet ou modu­lable ? 8- Quel est le plus impor­tant pour toi : avoir un meilleur salaire, une mis­sion plus inté­res­sante ou un envi­ron­ne­ment de tra­vail plus favo­rable à ton déve­lop­pe­ment per­son­nel ? A ce stade, je te deman­de­rai de les caté­go­ri­ser selon ton ordre d’im­por­tance. Puis en repre­nant ses 3 cri­tères et en obser­vant ton contexte pro­fes­sion­nel, sur une échelle de 1 à 5, à com­bien ton acti­vi­té actuelle y répond ? De quoi aurais-tu besoin pour te rap­pro­cher de 5 ? 9- Qui considères-tu comme un modèle de réus­site pro­fes­sion­nelle ? Ça peut être une per­sonne réelle ou fic­tive, en pen­sant à elle, note tes pre­mières impres­sions sans te bri­der et avec hon­nê­te­té (il n’y a pas de juge). Quelles sont ses qua­li­tés ? Quelle image véhicule-t-elle ? Les possèdes-tu ? L’envies-tu ? 10- Quelle est ma vision dans 1 an ? 3 ans ? 5 ans ? Qu’est-ce que tu ne sais pas encore faire et que tu aime­rais savoir faire ? Qu’est-ce que tu sais déjà faire et qui pour­rait te ser­vir ? Tu n’as pas le temps de faire l’exer­cice, enregistre-le pour plus tard. Tu penses que ça pour­rait être utile à un.e ami.e, partage-lui cet article. […] Lire la suite…
2 jan­vier 2023Je lis très sou­vent ce bon conseil: « Il faut avoir un réseau de qua­li­té ». Mais c’est quoi au juste un « réseau de qua­li­té »? Depuis mes débuts dans l’in­ser­tion pro­fes­sion­nelle, j’in­siste sur l’im­por­tance du réseau. Je me suis moi-même appuyée sur mon réseau à dif­fé­rentes reprises: pour cer­taines fonc­tions que j’ai occu­pées pour aider deman­deur d’emploi / étu­diants à trou­ver un job / une alter­nance. Pour­quoi mon réseau m’a tant appor­té? Car j’ai beau­coup don­né et c’est bien là l’essentiel. Si l’on revient donc sur notre ques­tion ini­tiale, un réseau de qua­li­té est un réseau com­po­sé de plu­sieurs per­sonnes incluant une cer­taine diver­si­té avec les­quels tu vas pou­voir inter­agir, don­ner et rece­voir. Je vais insis­ter sur le fait de don­ner sans rien attendre en retour et d’ac­cep­ter de rece­voir. Le fait de rece­voir n’im­plique pas d’a­voir une dette envers ce dona­teur. Tu peux en revanche te tour­ner vers une autre per­sonne et rendre à hau­teur de tes facul­tés. C’est ain­si qu’un réseau ver­tueux prend forme. Quelques points d’attention: Ne pas confondre réseau et pis­ton Avoir du réseau, ne veut pas dire pro­fi­ter du réseau… Prends l’i­mage d’un arbre frui­tier. Si tu ne fais que récol­ter les fruits, sans l’ar­ro­ser, sans en prendre soin, vien­dra le moment où il arrê­te­ra de te don­ner tes fruits ou t’en don­ne­ra des pour­ris. Consti­tuer un réseau prend du temps. Avec un peu de dis­ci­pline, en y ajou­tant un inves­tis­se­ment réel et en mul­ti­pliant les sources d’en­trées, tu arri­ve­ras à l’étoffer. Qua­li­té ne veut pas néces­sai­re­ment dire quan­ti­té. Quelques conseils: Dans mes dif­fé­rents pro­grammes d’ac­com­pa­gne­ments rela­tifs à l’o­rien­ta­tion, à la recon­ver­sion et à la recherche d’emploi, je traite du réseau et de l’im­por­tance qu’il peut revê­tir. Voi­ci quelques conseils que j’y donne régu­liè­re­ment: Les réseaux sociaux sont une conti­nui­té de ton CV plus axés sur ta per­son­na­li­té et tes softs­kills. Sers toi-en. Le réseau ne va pas te trou­ver un emploi direc­te­ment mais va te mettre en rela­tion avec les bonnes per­sonnes. La recom­man­da­tion est impor­tante, c’est même le sésame! Petit focus spé­ci­fique Lin­ke­dIn: lan­cer son CV sur la pla­te­forme sans avoir le réseau appro­prié ou une once d’o­ri­gi­na­li­té revient à jeter une bou­teille d’eau à la mer. Prends soin de toi, tu seras plus à même de don­ner à ton réseau. Prends soin de ton réseau, tu pour­rais être sur­pris de voir tout ce qu’il peut t’apporter. […] Lire la suite…
1 jan­vier 2023En 2021 nous arri­vons à envoyer des per­sonnes dans l’es­pace et pour autant le #Cur­ri­cu­lum Vitae occupe la 1ère place des outils de recru­te­ment. Qu’il soit en papier ou numé­rique, le can­di­dat passe des heures à tra­vailler sa « carte de visite » afin qu’il réponde à plu­sieurs cri­tères: être syn­thé­tique, être per­cu­tant, être concis, atti­ré immé­dia­te­ment le recru­teur sur une com­pé­tence clé. Néan­moins, on sait aus­si qu’un recru­teur passe en moyenne 40secondes à la lec­ture du CV et en moins de 20secondes il décide de le faire atter­rir sur la lune euh non plu­tôt dans la cor­beille. Alors quel est le pro­blème? Plu­sieurs effets à cela: Le CV est LIMITANT! Chaque recru­teur y va de son inter­pré­ta­tion, il passe son temps à sup­po­ser (temps pas­sé dans une entre­prise, période d’i­nac­ti­vi­té, com­pé­tences acquises…). Lorsque je recru­tais, il m’ar­ri­vait de rece­voir des can­di­da­tures qui se démar­quaient. Je pra­ti­quais alors ma « danse de la joie » à l’i­dée de rece­voir le can­di­dat en entre­tien et par­fois, cette ren­contre finis­sait en une grosse décep­tion car la per­sonne en face de moi ne reflé­tait pas son CV. Du moins, c’é­tait mon inter­pré­ta­tion. Je me deman­dais QUI était à l’o­ri­gine de la rédac­tion du CV? Le CV est IMPERSONNEL! Quand je par­cours le fil des dis­cus­sions dans des groupes de recherche d’emplois/des stages & d’al­ter­nance, je peux pas­ser plu­sieurs minutes avant de tom­ber sur une phrase d’ac­croche ou un CV qui se dis­tingue de « la masse ». Alors quelles solu­tions pour palier au désar­roi des recru­teurs? 1- Tra­vailler ta pos­ture Tu peux conser­ver un CV clas­sique ou faire preuve d’o­ri­gi­na­li­té tant qu’il est cohé­rent avec ta per­son­na­li­té! 2- Culti­ver ton audace Je te vois déjà m’é­crire « Gaëlle, le recru­teur nous demande un CV avec un cahier des charges bien pré­cis, il doit tenir sur une page, il doit être clair, sur­tout concis, il faut, il faut, il faut … alors on est bien obli­gé de le faire ». J’ai envie de te dire pas néces­sai­re­ment, les limites ne sont que celles que tu t’im­poses! Com­ment aujourd’­hui peux-tu espé­rer un résul­tat dif­fé­rent en fai­sant tou­jours la même chose? La réelle ques­tion à te poser est:  » Com­ment peux-tu te dis­tin­guer en res­tant toi-même et en répon­dant aux attentes de ton mar­ché » ? Lorsque j’au­dite un CV très sou­vent je ne res­sens pas la per­son­na­li­té du can­di­dat à tra­vers sa can­di­da­ture bien qu’il y ait des qua­li­tés et com­pé­tences indi­quées sur le papier. 3- T’ap­pro­prier ton his­toire Les recru­teurs veulent favo­ri­ser des ren­contres, avoir de vrais échanges et non tenir un rôle dans une pièce de théâtre où cha­cun lit son script. « Moins tu en écris sur ta vie pri­vée, plus tu auras de chance d’être pris! » VRAIMENT? pré­ci­ser que tu es céli­ba­taire ou mariée nous est égale en revanche m’in­di­quer une expé­rience, une anec­dote, me livrer un témoi­gnage, me diri­ger vers une réa­li­sa­tion qui soit per­ti­nente pour le poste visé m’embarquera dans ton his­toire per­son­nelle et pro­fes­sion­nelle. 4- Apprendre à se connaître Si tu dois en rete­nir un c’est celui-ci! J’ai­me­rai te poser une seule ques­tion: Pour­quoi tu veux tra­vailler? Prends le temps de la réflexion, EXIT « parce que je dois payer mes fac­tures », « parce que tout le monde tra­vaille », « parce que je n’ai pas le choix ». Ceux-ci ne sont que les étapes d’un besoin immi­nent, à quoi répond ton besoin de tra­vailler? A quelle valeur répond-t-il? Quelle est la chose ESSENTIELLE pour toi ? En y répon­dant, tu plan­te­ras le décor de ton his­toire per­son­nelle et pro­fes­sion­nelle. 5- Faire preuve d’authenticité C’est une erreur de tout miser sur le CV, c’est la clé de tra­vailler ton his­toire! J’ai déjà hâte que tu m’y embarques! […] Lire la suite…
1 jan­vier 2023Com­ment te définirais-tu sans par­ler de ton tra­vail? Pas facile comme ques­tion, n’est-ce pas? Et pour­tant c’est l’une de mes ques­tions pré­fé­rées. Elle est peu com­mune et nous n’y sommes pas habi­tués. Dans notre socié­té, nous nous défi­nis­sons aisé­ment par la fonc­tion que l’on occupe. Le fameux: “tu fais quoi dans la vie?” Dès lors le tra­vail prend le pas sur notre iden­ti­té. Il est d’ailleurs très fré­quent que nous orga­ni­sions toute notre vie autour de ce tra­vail: nos loi­sirs, vacances en fonc­tion de nos charges de tra­vail,… Le bas blesse quand ça ne va plus au tra­vail. Pro­blèmes rela­tion­nels, perte de sens, manque de recon­nais­sance, envi­ron­ne­ment deve­nu toxique,… plu­sieurs causes en sont à l’origine. En s’accrochant à ce tra­vail quoiqu’il en coûte , on cherche avant tout à s’accrocher à cette iden­ti­té. A force de s’accrocher, c’est le corps qui finit par décro­cher. Mais au fond qui sommes-nous sans ce tra­vail? Si le pro­blème est pris en amont en quit­tant cet envi­ron­ne­ment qui nous est néfaste; nous com­met­tons néan­moins une erreur majeure: cher­cher à repro­duire. Par confort, par pres­sion fami­liale ou sociale, cher­cher à repro­duire c’est aus­si prendre le risque de repro­duire un cycle néga­tif. Dans un chan­ge­ment pro­fes­sion­nel mineur ou dans le cadre d’une recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle, il est donc néces­saire de se recon­nec­ter à soi avant toute chose. Mais com­ment fait-on? Nous dis­tin­gue­rons 3 phases: La période anté­rieure au chan­ge­ment /à la recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle la période de tran­si­tion pro­fes­sion­nelle la période post chan­ge­ment / recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle Période anté­rieure le pre­mier conseil que je donne c’est d’apprendre ou réap­prendre à s’écouter. C’est une période de réflexion plus d’actions. Il va être impor­tant de se recon­nec­ter avec ses sen­sa­tions, ses besoins et sur­tout leur don­ner du sens. Ces sen­sa­tions sont-elles légi­times? Est-ce que je me sens cou­pable d’avoir ces sen­sa­tions? Période de tran­si­tion C’est une phase de deuil et de renais­sance. C’est à ce moment que l’on par­le­ra de bilan per­son­nel et pro­fes­sion­nel. J’utilise cet inti­tu­lé plu­tôt que bilan de com­pé­tences qui a une conno­ta­tion uni­que­ment pro­fes­sion­nelle. L’objectif de cette phase est redé­fi­nir son iden­ti­té pro­fes­sion­nelle à tra­vers ses valeurs, ses intel­li­gences, ses inté­rêts, ses besoins,… On com­men­ce­ra ain­si à s’imprégner de son nou­veau soi. Période pos­té­rieure à la recon­ver­sion pro­fes­sion­nelle Nous sommes des êtres humains qui évo­luons sans cesse de par nos expé­riences de vie. Il faut accep­ter cette évo­lu­tion et autant que pos­sible ne pas réfré­ner ses envies et ses nou­veaux besoins. Cette réin­ven­tion pro­fes­sion­nelle peut très bien durer de 1 an comme 10 ans. Nous ne sommes pas faits pour un seul métier. Cela ne fera pas de toi quelqu’un d’instable, juste quelqu’un qui s’écoute. […] Lire la suite…
27 décembre 2022C’est mathé­ma­tique! Plus Peter (le mana­ger) nous les répète, Plus notre estime et notre confiance en soi aug­mentent. Peter met­tra tout en oeuvre, chaque jours, pour favo­ri­ser ton bien-être! Si tu en as assez d’être reboos­té chaque matins par Peter. Tu peux déci­der de quit­ter Peter. 🤝 Parce qu’en réa­li­té tu ne dis pas NON à une boîte. Tu dis NON à Peter, Tu dis NON à sa méthode pour « moti­ver les troupes ». Tu dis NON à cette ambiance de tra­vail si apai­sante et confor­table. Tu dis NON à tous ses signes de recon­nais­sance que tu ne remarques plus. Tu dis NON à toutes ses actions cohé­rentes, ali­gnées à tes valeurs pro­fondes. Tu quittes: un Peter une ambiance toxique (sou­vent à cause de Peter) un manque de recon­nais­sance (Peter plaide encore cou­pable) des actions contraires à ses valeurs (tou­jours Peter) En même temps Peter fait peu d’effort et favo­rise ce sen­ti­ment d’inconfort. […] Lire la suite…

Ta capsule d’expression

Tu sou­haites nous par­ta­ger une expé­rience? Tu es confronté.e à une pro­blé­ma­tique pro et tu cherches une oreille, un conseil, une solution?

Vois cet espace comme une libération